Retranché sur les hauts de Beaumont, mal conseillé s'il l'est, peu entouré, sa candidature repose sur de vieilles rancœurs et une sourde colère revancharde, ce qui n'a jamais fait un programme électoral. C'est pourtant sur cette détestation de l'adversaire (et sur la haute estime de lui-même) qu'il a bâti son "projet" et son "équipe".
La lecture de son site internet bâclé, mal rédigé et inachevé donne l'image d'un candidat archaïque, sans préparation, volontiers agressif, qui se pense incontournable du fait d'une poussiéreuse notoriété et n'a donc nul besoin d'avancer une argumentation d’intérêt général, non plus que de parler aux Beaumontois. Il peut se passer d'idées ou même de programme : Bergamasco se suffit à lui-même.
Ne voulant être d'aucun parti, ce qui pourrait se défendre, il a finalement fait le plus mauvais choix en se déclarant de tous les partis, de gauche et de droite, d'extrême gauche et d'extrême droite.
De fait, il s'est aussi coupé de tous les partis traditionnels (et même des autres) susceptibles de lui apporter quelque soutien (et accessoirement quelques... voix), d'une manière ou d'une autre : mais Bergamasco n'a besoin de personne (même pas d'électeurs, semble-t-il).
Si les gens votent, c'est justement pour faire un choix. Pas pour tout prendre. Pas pour prendre n'importe quoi. C'est même pour cette raison que les élections existent, Monsieur Bergamasco.
Malheureusement, il est déjà trop tard. Avant d'avoir fait campagne, la liste Bergamasco s'est déjà condamnée à la cuisante défaite. Le journal régional soutenant le Maire n'en attendait pas tant, qui va appuyer très fort à l'endroit le plus douloureux, au moment le mieux choisi et en gras dans le texte.
Une seule question subsiste : Bergamasco et ses équipiers vont-ils éviter, en plus de la grosse fessée en public, le ridicule terminal * ? Rien n'est moins sur.
La lecture de son site internet bâclé, mal rédigé et inachevé donne l'image d'un candidat archaïque, sans préparation, volontiers agressif, qui se pense incontournable du fait d'une poussiéreuse notoriété et n'a donc nul besoin d'avancer une argumentation d’intérêt général, non plus que de parler aux Beaumontois. Il peut se passer d'idées ou même de programme : Bergamasco se suffit à lui-même.
Ne voulant être d'aucun parti, ce qui pourrait se défendre, il a finalement fait le plus mauvais choix en se déclarant de tous les partis, de gauche et de droite, d'extrême gauche et d'extrême droite.
De fait, il s'est aussi coupé de tous les partis traditionnels (et même des autres) susceptibles de lui apporter quelque soutien (et accessoirement quelques... voix), d'une manière ou d'une autre : mais Bergamasco n'a besoin de personne (même pas d'électeurs, semble-t-il).
Si les gens votent, c'est justement pour faire un choix. Pas pour tout prendre. Pas pour prendre n'importe quoi. C'est même pour cette raison que les élections existent, Monsieur Bergamasco.
Malheureusement, il est déjà trop tard. Avant d'avoir fait campagne, la liste Bergamasco s'est déjà condamnée à la cuisante défaite. Le journal régional soutenant le Maire n'en attendait pas tant, qui va appuyer très fort à l'endroit le plus douloureux, au moment le mieux choisi et en gras dans le texte.
Une seule question subsiste : Bergamasco et ses équipiers vont-ils éviter, en plus de la grosse fessée en public, le ridicule terminal * ? Rien n'est moins sur.
Nous profitons de l'occasion pour rappeler aux candidats ou membres de leurs listes respectives qu'ils peuvent s'exprimer librement dans ces colonnes et apporter à nos lecteurs précisions, commentaires ou informations.
* à suivre
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